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 Fear of the dark.

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Une ombre dans la nuit
Alduin Bravewyrm
Alduin Bravewyrm
Une ombre dans la nuit

••• Citation : "Je ne suis pas un héro. Moi, je n'hésiterais pas à te tuer."
••• Taff : Professeur de maîtrise du pouvoir.
••• Localisation : Regarde ton ombre.


Alias
••• Pseudo: Nightwalker.
••• Spécial: Maître des ombres.
••• Niveau:
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MessageSujet: Fear of the dark.   Fear of the dark. EmptyLun 25 Aoû - 18:24


Alduin Bravewyrm
Les justiciers sont pas tous tout blanc...


Carte d'identité
♚ Nom : Bravewyrm.
♚ Prénom(s) : Alduin.
♚ Âge : 26 ans.
♚ Nationalité(s) : Russe d'ascendance infernale.
♚ Lieu de Naissance : Incertain. Près de Moscou.

♚ Groupe : Personnel.
♚ Team : XXX
♚ Options : XXX
♚ Métier : Professeur de maîtrise du pouvoir.

♚ Sexualité : Hétérosexuel et en couple.

Alias
♚ Pseudo héroïque : Nightwalker.
♚ Niveau : 22.

♚ Classe : Mythique.
♚ Don : Maître des ombres.
♚ Maitrise : 8,5/10
♚ Explications : C'est bien simple, il est le maître de l'ombre et elle obéit. Elle ferait n'importe quoi elle deviendrait n'importe quoi elle prendrait n'importe quelle consistance. Il peut même se déplacer avec elle. Bref, il est le maître, elle est son esclave. Et à propos de ça. Il est grandement recommandé de ne pas l'affronter la nuit. Pas que vous seriez cernés par cette dernière mais voilà. Le défaut, les jours de trop grand soleil au milieu d'un coin sans abris. C'est là qu'il reste "Sans défenses." Il n'est pas insensible à son don. C'est à dire que s'il fait obstacle à une de ses attaques, elle le touchera également. Les attaques de grande envergures lui demande également un certain temps entre l'invocation et le lancement.

♚ Costume : Aucun.
♚ Arme : L'épée d'Hadès.
♚ Gadget : Aucun.
♚ Moyen de transport : Aucun.

Physique & Personnalité
Quand tout à coup tu croises un regard qui te perfore de part en part.
Imagine-toi t’es là ça te tombe dessus sans crier gare
.


T'es beau. Ouais, t'es sacrément beau une gueule d'ange, des beaux cheveux noirs qui te tombent un peu devant les yeux. Des yeux inox, gris comme la lame d'un couteau, des putains d'yeux, tellement doux, mais aussi tranchants qu'une lame de rasoir. Ah tu m'fais hurler là avec ta carrure athlétique et ton mètre soixante quinze. T'es pas vraiment grand mais pourtant tu reste impressionnant. Avec ta démarche rapide et ton air assuré. Et sur ton avant bras droit, y'a son nom gravé au couteau une cicatrice qui partira jamais mais ça tu t'en fou, parce que t'as accepté qu'elle te marque, qu'elle fasse de toi sa propriété en inscrivant son nom sur ta peau. "Eris."


Mon corps mon âme prends tout tout de suite
Et qu’on se noie dans les nuits fauves



Mais j'connais ta face caché, comme une pièce de monnaie qu'on retournerait. Ton sale sourire dégueulasse et tellement beau qui se tord, qui s'étire, dévoilant tes dents de prédateurs, tes traits qui se durcissent tes yeux qui deviennent rouges comme le sang. Cette bestialité qui émane de toi, cette froideur. T'es tranchant comme une lame, mortel comme une crisa cardiaque, dessiné comme un ange, un ange de la mort.
Tu l’entends ? Bien sûr que tu l’entends.
Le murmure. Le murmure assourdissant et permanent.
Il a envahit la ville et les esprits.
Il arpente les rues en hurlant.



C'est comme un souffle qui envahit ta tête, une sale tempête. C'est toi mais c'est pas toi. Sauvage ça agresse ton esprit, mais c'est pas lui, c'est toi. T'as du mal à suivre parfois c'est compliqué, mais ça c'est seulement quand sa commence à souffler.


Le murmure assourdissant et permanent,
Comme un bruit parasite à l’intérieur qui t’épuise.
Qui souffle à l’oreille de chacun « t’es mauvais, t’es bon à rien, tu seras jamais assez bien »,
Qui te répète « t’es comme ça, ou tu devrais, ça changerait rien si tu changeais ».



Y'a toi, y'a lui, y'a ce coin d'ombre, pas deux mais trois, cette folie qui t'habite en collocation avec le démon. On pourrait croire que c'est lui mais non c'est toi, qui te plonge tête la première dans le sang, qui te plait à lacérer à déchirer. C'est bel et bien toi, lui ne peut qu'apprécier, admirer et te prêter sa force.


Le murmure assourdissant et permanent qui espère te mettre à terre en te criant : « Essaie pas de refaire l’histoire, t’y arriveras jamais c’est trop tard, c’est baisé, c’est imprimé dans les mémoires ».
Le murmure assourdissant et permanent qui te fait croire qu’y a pas de rédemption,
Pas de pardon. Pas de rachat. Pas de rémission.
Et tu l’acceptes. Tu le laisses rentrer.



T'as ces pulsions maladives qui te rongent, comme des sales rats agglutinés autour d'un mourant, attendant ce moment de faiblesse, celui là même où ils pourront l'envahir, le dominer et le bouffer pour ensuite se barrer laissant qu'un vieux tas d'os ensanglanté. D'un autre côté, c'est lui qui te maintiens. Il a un bon équilibre il t'empêche de basculer, de te faire balayer par cette sale tempête, celle qui souffle dans ta tête.


Tu te demandes si t’es une bête féroce ou bien un saint.
Mais tu es l’un, et l’autre. Et tellement de choses encore.
Tu es infiniment nombreux.
Celui qui méprise, celui qui blesse, celui qui aime, celui qui cherche. Et tous les autres ensemble.
Trompe toi, soit imprudent, tout n’est pas fragile.
On attend rien que de toi, parce que tu es sacré. Parce que tu es en vie.
Parce que le plus important n’est pas ce que tu es, mais ce que tu as choisi d’être.



Tu es un saint, capable de faire preuve d'une gentillesse immense. Tellement sain que ça en deviendrait malsain. Presque dégueulasse de voir quelqu'un comme ça, qui semble tellement banal faire preuve de tant d’attention envers des gens qu'en mériteraient même pas. Toujours ton sourire d'ange sur les lèvres, t'es à gerber, comme si tu refusait de voir ce que tu es, planqué derrière un arbre pour échapper à la tempête.. Cette bête féroce qui s'lance et qui dévore sans retenue, arrachant les cœurs, un grand sourire carnassier, tordu dérangé, plaqué sur tes lèvres, dangereux, mortel. Chasseur, joueur, traqueur, tueur. Tu les abîmes, tu les fait plonger au cœur de cette tempête, tu leur fait subir son souffle froid et tranchant, surgissant de l'ombre comme un monstre d'en dessous du lit d'un enfant.

Histoire
Ooooh qu’est ce que tu fais ?! Arrête !
Qu’est ce qu’il te prend de faire des trucs pareil ?


C'est ton pied qui s'écrase contre la salle gueule de ce type, ce mec là, qu'est-ce qu'il a fait ? A ce stade tu sais plus. Tu l'frappes c'est tout ce que tu sais, il pisse le sang, c'est ça qui te plait. C'est ça qui fait s'échapper de tes lèvres ce ricanement, complètement dérangé complètement barré. Enfant des quartiers, la rue sans toit vaut plus que ta maison, c'est ton terrain, c'est ta vie. Saleté de délinquant, tu fais ce qui te plait, tu fait n'importe quoi, tu te bats tout les jours, tu frappes t'assures ta survie. Avec lui en toi, avec cette tempête, tu creuse ta place à grand coup de pompes dans la gueule. Et il est mort.


Et puis comment j’ferais sans toi moi ?
Et puis comment l’univers il ferait sans toi ?
Ça pourra jamais fonctionner. C’est impossible.



Ouais ta mère c'est une catin. Ouais ouais une pute, j'ai bien dit pute ouais. Qui s'est faite engrossée par un dieu en manque d'amour avant d'aller trouver un substitut de réconfort dans les bras d'un gros porc alcoolique, c'est lui qui aurait du te fournir un semblant d'éducation au lieu de vous faire crouler sous les taloches. Enfoiré, mais grâce à lui t'as découvert la rue, la violence. T'es persuadé que c'est lui qu'a lancé la tempête c'est lui qui t'a transformé en pièce de monnaie, double face, capable de tuer comme d'aimer. Un esprit en bordel habité par une âme noire, voilà c'que t'es. En parlant d'aimer, tu l'aimais ta mère hein ? Ouais j'dit tu l'aimais parce que quand t'es rentré elle, elle était partie allongé sur le sol, en train de pisser le sang, t'as pas calculé tout de suite, ton regard faisait des allez retour entre le connard qui se tenait le visage, les mains en sang sur le canapé et ta chère mère. Elle est morte. Alors lui aussi. Parce que quand t'as compris, enfin, tu lui a sauté dessus, une vrai bête, tu laissait tes poings s'écraser contre sa sale gueule entre bruits mats et craquements dérangeants et tu cogne, tu cogne, tu cogne, tu t'éclabousse avec son sang pourri, tu cogne, tu cogne jusqu'à ce que tu percute que t'es en train de frapper une saloperie de résidu d'os assortis d'une bouillie dégueulasse et ensanglantée. Et là tu hurle ta rage, tu pleure, putain tu pleure. La rage, la tristesse. Tu sors tu claque une dernière fois la porte de ce vieil appart miteux qu'a jamais vraiment été ton chez-toi.

J’suis prêt à aller en enfer, j’te porte sur mon dos.
J’me prends des beignes regarde, j’me prends des beignes.


Y'a ton vrai père aussi, Hadès le dieu des enfers, le grand, le vrai qu'a jamais rien fait mais qui a finit par débarquer pour te donner ton héritage. Sa lame et son pouvoir. En t'offrant son pouvoir, les ombres, tu deviens le maître du domaine, elles sont toutes pliées à tes pieds prêtes à exécuter le moindre de tes caprices, tu veux un bouclier ? Prends une ombre. Tu veux te rendre là-bas ? Mate le coin d'ombre, plutôt cool pour se déplacer. Et que celui qui croise la bête de nuit soit recommandé à je ne sais quel dieu ou entité surnaturelle. Ou a ton père.

Salope de ta race ! Tu me brûles ! Tu me brûles trop !
Avec tous les autres aussi, qui me brûlent beaucoup trop fort !


Tu traînes avec tes potes, des gars comme toi qu'on été élevés par la rue. Qui ont grandi en bossant pour les pourris, pour ramasser un peu de fric. Enfin tes potes, tous des connards, tu sais pas si tu les aimes vraiment ou pas. Salaud va. Mais c'est qu'un jour t'as carrément craqué, ce jour où on vous a appelés pour un casse bateau, un travail de pions. Vous êtes entrés dans le vieux bâtiment pour le briefing. Et là, elle a soufflé, comme elle avait jamais soufflé. Tu t'es mis à haïr le monde, à vouloir le dévorer, les lampes ont éclatés, fauchées par les ombres, les portes ce sont trouvés scellées, tu t'es levé et t'a attrapé le premier. Qu'il était délicat de le voir, ouvert en deux, ses entrailles en train de se répandre à terre. Qu'il était bon de les voir détaler comme des lapins, qu'il était bon des les traquer. Déchirer leur chair, trancher, lacérer, démembrer. Ce jour là tu t'es couvert de sang comme jamais. Tous morts, certains épinglés au mur, comme de vulgaires poupées désarticulées d'autres dont on était même pas sur de pouvoir retrouver leur identité tellement tu les avait abîmés.. C'est moche hein, c'est horrible. Le fait qu'avec toi la peur du noir prenne tout son sens.


Ecoute, pauvre conne:
J'suis pas quelqu'un de bien, j'suis pas une belle personne
J'suis une sale bête, une bouteille de gaz dans une cheminée
Et j'vais finir par te sauter au visage si tu t'approches trop
Comme ça a fait avec les autres
Alors avant que j'me transforme encore une fois, pars en courant
Fuis-moi comme le choléra


T'as réussi à te faire peur toi même avec ça, tu t'es tiré, la Russie c'est finit. T'as pas peur de l'ombre non, elle te pose pas de soucis, c'est même plutôt elle qui à peur de s'aventurer trop loin dans ta tête, elle comme toi, vous craignez la tempête. T'as changé de nom. T'es devenu Alduin Bravewyrm. Avant ? Tu veux plus en parler. Tu t'es mis au travail, simple et pas trop chiant, tu vends des disques. Y'a du contact, un peu dangereux parfois, on est jamais à l'abris d'une bourrasque, mais t'as des collègues au cas où ça arriverait. Le temps de t'éclipser fumer une clope, te détendre un peu, retrouver un état stable. T'es dangereux, t'es explosif, mais t'essaie de te ranger. T'arrives même à être gentil, à en crever. P't'être un genre d’amendement après tout ce que t'as fait avant. T'es un putain d'ange, un ange de la mort, t'es aussi que démoniaque, un putain de déséquilibre, je sais même pas si on peut dire que t'es vraiment humain. Non, t'es juste une pièce de monnaie qui vole au grès de la tempête accompagné par une âme noire.

J'pourrais te donner un million de bonnes raisons
Pour qu'on m'attrape, qu'on m'casse les genoux et qu'on m'cloue au pilori


Tout ce que tu veux maintenant c'est t’amender. Parce que t'en a trop fait parce que t'en peux plus. Tu t'es mis avec quelqu'un. Toi, tu t'es mis en couple. Mais t'entends comment ça sonne ? Tu t'en fous pas vrai. Un beau jour comme ça, t'as décidé d'aider. D'abord tu t'es mis à traquer les criminels au lieu de n'importe qui, les petits délinquants comme les gros morceaux. Pendant plusieurs années, tu t'es mis à rendre justice pas de la façon la plus propre, mais tu le faisait. Tu le remontais le chemin de la rédemption. Et même ceux d'avant... Y'a toujours eu plus de criminels dans le tas que d'innocents. Et finalement, t'as pris une décision qui allait changer ta vie pour de bon. Tu t'es rendu dans cette école à Miami. T'as plaidé ta cause devant la directrice. T'y a mis toute ton âme. Parce que t'es plus comme ça. Parce que t'es prêt à changer, parce que t'as l'expérience du milieu criminel, parce que tu les traques. Tu sais qu'il y aura toujours un risque mais tu sais assez bien te gérer pour ne pas causer d'ennuis. Pour laisser la bête au placard assez longtemps pour partir. T'es du bon côté maintenant. Mais tu seras jamais tout blanc.


Derrière l'écran
♚ Pseudo : Dieu, Rex, Lexou.
♚ Source avatar ? Walter C. Dornez~Hellsing
♚ Mâle ou femelle ? Chat.
♚ Âge ? 21.
♚ Comment as-tu connu le fow ? Chat.
♚ Une suggestion ? Chat.
♚ Le mot de la fin : Chat.



Dernière édition par Alduin Bravewyrm le Dim 26 Oct - 21:50, édité 6 fois
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Employée du mois
La secrétaire relou
La secrétaire relou
Employée du mois

••• Citation : « Merci de parapher ce document en trois exemplaires ! »
••• Taff : Secrétaire à la Miami Special School
••• Localisation : Sous des tonnes de paperasses


Alias
••• Pseudo: Super Secretary
••• Spécial: Secretary Power
••• Niveau:
Fear of the dark. Left_bar_bleue100/100Fear of the dark. Empty_bar_bleue  (100/100)

Fear of the dark. Empty
MessageSujet: Re: Fear of the dark.   Fear of the dark. EmptyMar 26 Aoû - 0:18

Bienvenue


Après lecture sérieuse, consciencieuse et scrupuleuse de ton dossier d'inscription, j'ai le plaisir de t'informer que tu es un membre du personnel validé de niveau 22. Tu peux tyranniser les étudiants avec ton costume et ton arme.

Tu peux maintenant remplir ton profil si ce n'est déjà fait, t'inscrire sur le bottin du forum, t'occuper de ton casier, RP et flooder !


Fear of the dark. QNuuwN9
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Fear of the dark.

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